Marthe Fatin-Rouge Stefanini est directrice de recherches au CNRS et membre de l’Institut Louis Favoreu (Laboratoire de Droit international Comparé et européen : UMR 7318 DICE, Aix-Marseille Université).
Juriste spécialisée en droit constitutionnel comparé, elle travaille depuis une vingtaine d'année sur les aspects juridiques de la démocratie, l'encadrement des mécanismes de participation directe des citoyens, la justice constitutionnelle, la vulnérabilité ou encore l’exercice des droits attachés à la citoyenneté.
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Aurélie Duffy-Meunier est professeur de droit public à la Faculté de droit et de science politique d’Aix-Marseille Université (Institut Louis Favoreu, UMR 7318 DICE).
Elle travaille depuis de nombreuses années sur le droit constitutionnel comparé et s’intéresse, plus particulièrement, au constitutionnalisme dans les pays de common law, à la démocratie et à la participation citoyenne, à l’État de droit et à la protection des droits et libertés.
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Daniel Kübler est professeur au Département de science politique et co-directeur du Centre d’études sur la démocratie de l’Université de Zurich en Suisse.
Il est en outre chercheur associé au Centre d’études européennes et de politique comparée de Sciences Po Paris. Ses intérêts de recherche sont la politique urbaine, la gouvernance territoriale, la démocratie directe, les politiques publiques (en particulier dans le domaine de la santé publique) ainsi que la bureaucratie représentative.
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Nenad Stojanović est professeur au Département de science politique et relations internationales de de l’Université de Genève en Suisse.
Ses intérêts de recherche portent sur les innovations démocratiques et la participation citoyenne ; la démocratie directe et délibérative, la démocratie dans les sociétés plurilingues et multiculturelles, les discriminations électorales et le tirage au sort.
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Mario Gauthier (Ph. D. études urbaines) est professeur titulaire au Département des sciences sociales de l’Université du Québec en Outaouais.
Géographe et urbaniste de formation, ses travaux de recherche et publications portent sur la planification urbaine et métropolitaine, l’aménagement du territoire et l’urbanisme, l’évaluation environnementale, le développement durable des territoires et la participation publique en environnement, aménagement et urbanisme.
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Stéphanie Yates est professeure au Département de communication sociale et publique de l’Université du Québec à Montréal (UQAM), membre du Labfluens – Laboratoire sur l’influence et la communication et membre du Groupe de recherche en communication politique de l’Université Laval. Politologue de formation (Ph.D Université Laval 2010), elle étudie le rôle des citoyens et des groupes d’intérêt dans la gouverne des États et des entreprises. Dans cette perspective, elle se penche sur les stratégies de médiatisation des acteurs publics et privés en lien avec le lobbyisme, la participation publique, l’acceptabilité sociale et la responsabilité sociale des organisations. Elle s’intéresse également à la communication environnementale. Partant d’une approche interdisciplinaire, elle a publié de nombreux articles et chapitres dans des publications en communication, en science politique et en administration publique.
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Raphaël Kies a eu son doctorat à l’Institut Universitaire Européen. Il est chercheur à l'Université du Luxembourg, où il travaille et enseigne sur des projets liés à la démocratie participative, les élections et les médias. Il occupe également plusieurs rôles institutionnels au niveau national et international : directeur du Centre de la démocratie participative au Luxembourg (PLDP.lu), responsable du Media Pluralism Monitor (MPM), membre du conseil d’administration de la radio public luxembourgeoise (radio 100.7) et membre du comité d’expert du conseil de l’Europe portant sur la liberté d’expression. Dans tous ces domaines il est à l’origine d’un grand nombre d’initiatives destinées au public.
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Mathilde HEITZMANN-PATIN est professeur agrégé des facultés de droit à l’Université du Mans depuis 2018. Elle y enseigne le droit constitutionnel, le droit administratif des biens ainsi que le droit des sources de la common law. Elle est aujourd’hui rattachée au laboratoire Themis-UM à l’Université du Mans et membre associé au Centre de Recherche de Droit constitutionnel au sein de l’Institut des Sciences juridiques de la Sorbonne (ISJPS-CRDC). Elle a notamment codirigé l’organisation d’une journée d’étude et la publication d’un ouvrage sur « La participation du citoyen à la confection de la loi ».
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Émilien Paulis est un chercheur postdoctoral en science politique à l'Université du Luxembourg et membre de la Plateforme luxembourgeoise pour la démocratie participative (PLDP). Ses domaines d'expertise couvrent plusieurs aspects de la vie politique, notamment : la participation politique et l'adhésion partisane, les organisations des partis politiques, les campagnes électorales et les élections, les interactions entre partis politiques et groupes d'intérêt, l'analyse des réseaux sociaux et leur impact sur les comportements politiques, la démocratie participative.
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Professeur titulaire à l’École d’études politiques de l’Université d’Ottawa (Programme d’administration publique), Louis Simard est détenteur d’un doctorat en sociologie de l’Institut d’études politiques de Paris et d’une maîtrise en science politique de l’UQAM. Ses travaux de recherche portent sur la participation publique dans les secteurs de l’environnement et de l’énergie, plus particulièrement sur l’acceptabilité sociale, les grands projets et les instruments de participation publique et de compensation.
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Alice Friser est professeure au Département des sciences administratives de l’Université du Québec en Outaouais (UQO), membre du Groupe de recherche en responsabilité sociale et développement durable de l’Université du Québec à Montréal et du Centre de recherche en droit public de l’Université de Montréal. Titulaire d’une maîtrise en sciences de l’environnement et d’un doctorat en administration des affaires, elle étudie les trajectoires des controverses sociotechniques. Dans cette perspective, elle s’intéresse aux questions d’acceptabilité sociale et de responsabilité sociale des organisations.
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Jessy Bailly est maître de conférences en science politique à la Faculté de sciences sociales, d’économie et de droit de l’Institut Catholique de Paris. Ses thématiques de recherche renvoient à la sociologie de l’action collective, à la sociologie du droit et aux théories et conceptions démocratiques.
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Julien Padovani est maître de conférences à l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne et directeur des Cahiers Portalis : Revue française d'études et de débats juridiques.
Ses thèmes de recherche principaux portent sur le droit constitutionnel, la méthodologie, l’épistémologie du droit et l’enseignement du droit. En 2022, il a codirigé l’organisation d’une journée d’étude et la publication d’un ouvrage sur « La participation du citoyen à la confection de la loi ».
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Après avoir été professeur au Département des sciences juridiques de l’Université du Québec à Montréal où il a enseigné l’Introduction au droit, la Méthodologie de la recherche juridique, le Droit administratif ainsi qu’un cours consacré au Droit et aux mouvements sociaux, Julien Pieret est actuellement professeur à l’Université Libre de Bruxelles. Il y a dirigé le Centre de droit public et social entre 2018 et 2024. Contre la tendance à l’hyper-spécialisation académique, Julien Pieret développe des recherches variées portant sur des sujets diversifiés : la lutte contre le terrorisme, les politiques publiques de sécurité, la régulation du casier judiciaire ou encore la gestion des nuisances sonores. D’un point de vue théorique, Julien Pieret s’intéresse particulièrement à la sociologie du risque (forgée par Ulrich Beck) et à la théorie des systèmes sociaux (développée par Niklas Luhmann) ainsi qu’aux approches critiques du droit. Il est membre associé de plusieurs centres universitaires de recherche. Enfin, Julien Pieret est très actif dans le tissus militant et socio-culturel bruxellois (Ligue des droits de l’Homme, Radio Panik, Service Droits des jeunes et Comité de vigilance en travail social).
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Céline Romainville est professeure de droit constitutionnel à l’Université catholique de Louvain et membre du Centre de recherches sur l’État et la Constitution de la Faculté de droit de cette Université. Elle enseigne le droit constitutionnel et le droit des droits fondamentaux. Ses recherches portent sur la séparation des pouvoirs, le droit des droits fondamentaux, le fédéralisme belge, les liens entre droit constitutionnel et droit européen, la justice constitutionnelle et les droits culturels.
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Professeur au Département de science politique de l'Université Laval, Eric Montigny est co-directeur du Laboratoire international associé Université Laval et Université de Lausanne sur les partis politiques, la représentation et le développement durable (PARDUR), en plus d’être membre de la Chaire de recherche sur la démocratie et les institutions parlementaires. Ses travaux de recherche traitent principalement de la démocratie interne des partis politiques, du militantisme, du parlementarisme et de la gouvernance. Ayant œuvré pendant une douzaine d'années à l'Assemblée nationale du Québec, il dispose d'une vaste expérience pratique.
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Président de Flexeole et du Groupe PHGD, John Crowley est entrepreneur de l’énergie renouvelable et spécialiste de la transition écologique. Docteur en science politique, John a été économiste dans l’industrie pétrolière, chercheur universitaire et fonctionnaire des Nations-Unies.
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Geneviève Motard enseigne le droit constitutionnel et les droits des peuples autochtones à la Faculté de droit de l'Université Laval depuis 2009. Ses recherches portent sur les droits politiques et territoriaux des peuples autochtones et les interactions entre les ordres juridiques autochtones et étatiques. Ses plus récentes recherches s'intéressent à la question du constitutionnalisme autochtone. Elle est membre du Groupe de recherche sur les sociétés plurinationales (GRSP). Elle est aussi, depuis 2020, directrice du Centre interuniversitaire d'études et de recherches autochtones (CIÉRA).
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Lisa Ellington est travailleuse sociale et professeure adjointe à l’École de travail social et de criminologie de l'Université Laval (UL). Elle enseigne les cours d'intervention individuelle et familiale de même que le travail social en contextes autochtones. Ses travaux de recherche portent sur la protection de la jeunesse, la gouvernance autochtone des services sociaux et l’expérience des familles autochtones (biologiques et d’accueil) au sein de ces services. Elle a notamment coécrit l'ouvrage Ka Nikanitet : pour une pratique culturellement sécuritaire de la protection de la jeunesse en contextes autochtones (PUQ, 2022).
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Priscylla Joca est professeure adjointe à la Lincoln Alexander School of Law de l’Université Métropolitaine de Toronto.
Ses recherches explorent les intersections entre de multiples traditions et ordres juridiques, notamment le droit autochtone, le droit international des droits de la personne et le droit étatique, en accordant une attention particulière aux études juridiques comparatives entre le Canada et le Brésil. Elles explorent également la manière dont les peuples autochtones et les communautés locales traditionnelles articulent leurs propres lois et droits, remettant en question les cadres juridiques conventionnels centrés sur l'État et faisant progresser les approches décoloniales de la justice environnementale et écologique. Elle s'intéresse particulièrement à l'autodétermination, aux droits territoriaux et au consentement libre, préalable et éclairé de ces peuples et communautés, adoptant une approche interdisciplinaire et critique qui englobe les sciences sociales et environnementales afin d'offrir une perspective globale sur ces questions cruciales.
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Ledy Rivas Zannou est titulaire d'un doctorat en droit du numérique de l’Université de Montréal. Professeur au Département de droit de l'Université du Québec en Outaouais, ses recherches s’intéressent principalement à l’interaction du droit avec les nouvelles technologies dans des domaines variés comme la gouvernance des affaires, le droit de la consommation, le droit des contrats, la responsabilité civile, la propriété intellectuelle, la protection des données personnelles, le commerce électronique. Il témoigne aussi un intérêt pour les théories critiques en droit, la régulation éthique et juridique de l’intelligence artificielle et pour la cybersécurité.
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Stéphanie Lacour est directrice de recherche au CNRS au sein de l’Institut des sciences sociales du Politique à l’ENS Paris-Saclay. Ses travaux se situent au croisement des sciences juridiques et de la sociologie et portent sur les concepts, pratiques et objets scientifiques et techniques émergents ainsi que sur le rôle et la place du droit dans la démocratie délibérative.
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Pierre Guibentif est professeur titulaire à l’Institut universitaire de Lisbonne (ISCTE-IUL) et chercheur au Dinâmia’CET-IUL, qu’il co-dirige. Formé en droit et en sociologie, il est docteur en droit de l’Université de Genève. Ses recherches et publications portent sur la sociologie du droit et les théories de la société. Il est président du Researche Committee on Sociology of Law (RCSL) de l’Association internationale de Sociologie (2023-2027)
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Diana Villegas est maître de conférences en droit privé et sciences criminelles à l’Université Paris Panthéon Assas, rattachée à l’Institut de criminologie et de droit pénal de Paris ainsi qu’à l’Institut Social du Politique de l’ENS-Paris-Saclay. Depuis octobre 2024, elle est également membre junior à l’Institut Universitaire de France. Ses travaux explorent les thèmes relatifs au pluralisme juridique, la théorie des ordres, les droits pénaux et la justice. Elle s’inscrit dans une démarche interdisciplinaire mobilisant des outils offerts par les sciences sociales et le mouvement Droit et Culture. Elle est l’auteur d’une thèse intitulée L’ordre juridique mafieux (Dalloz, 2018).
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Alexandre Flückiger est professeur de droit public, vice-directeur du Département de droit public et membre du comité directeur du Centre d’étude, de technique et d’évaluation législatives (CETEL) de la Faculté de droit de l’Université de Genève
Il est l’auteur de nombreuses publications dans les domaines du droit constitutionnel et administratif, de la légistique ainsi que du droit de l'environnement et des constructions, de la protection des données personnelles et de la transparence.
Il a par ailleurs été chef du Service de méthode et formation législatives à l’Office fédéral de la justice à Berne et membre de la Commission externe d’évaluation des politiques publiques du canton de Genève.
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